Le 24 juin, Le Président Muhammadu Buhari a signé une loi visant à améliorer la sécurité dans les eaux nigérianes. Le nouveau projet de loi sur la répression de la piraterie et d’autres infractions maritimes vise à garantir sécurité et sécurité des transports maritimes, poursuivre les infractions et criminaliser la piraterie.
Nigeria devient officiellement le premier pays du golfe de Guinée à promulguer un loi autonome pour lutter contre la piraterie. Le projet de loi répond à la exigence d’une législation distincte contre la piraterie fixée par l’OMI, en ce qui concerne assurer l’expédition mondiale.
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La nouvelle loi comprend une définition distincte de la piraterie et autres infractions maritimes. Il prévoit des peines en cas de condamnation pour crimes, la restitution des avoirs maritimes violés aux propriétaires et la confiscation de les produits de la criminalité maritime au gouvernement.
La loi confère une compétence exclusive au Nigérian Federal Haute Cour, donnant aux autorités compétentes le pouvoir de saisir des navires pirates ou en Nigérian ou les eaux internationales.
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Depuis juin 2017, un projet de loi sur les opérations maritimes a été utilisé pour criminaliser la piraterie, mais le morceau de la législation s’est avérée inefficace. Il y a longtemps eu des appels pour des cadre juridique et juridiction compétente pour juger tous les infractions. De retour en janvier 2018, le le président a rejeté un premier projet de loi sur la sécurité maritime, appelant à une approche contre la piraterie.
Au cours de la dernière décennie, les eaux nigérianes ont été un point chaud pour les incidents de piraterie, en tête des classements de piraterie en 2018 avec 31 attaques. Le nombre d’attaques a baissé au premier trimestre de 2019.